le chat   Biscotte et texie dans la poussette

MI-OCTOBRE  2015



avec Texie-Texie- : "J'ai eu peur ! J'ai bien cru que j'allais devoir faire tous mes popots sur le bac ! C'est que papa et maman n'en finissaient pas de faire des installations, des rangements, du tri.  Une agitation comme j'en ai rarement vue. Biscotte et moi on a garé nos pattounes dans un coin et on a attendu, très sagement, que ça se calme. Le beau soleil de ce matin s'est caché derrière les nuages quand on a pu enfin sortir pour la promenade. Je suis soulagée, parce que si mon secrétachien prend du retard, j'ai un mal fou à le rattraper. Alors ça me fatigue beaucoup et je dois remonter dans la poussette et me reposer. Or je ne veux pas ! Dès que je sens que maman me regarde pour me poser la question j'accélère un coup pour bien lui faire comprendre que je ne suis pas d'accord. Je sens ses regards même sans la voir ! Je suis extra lucide."

bibi-Biscotte- : "Allez, assez joué au jokari. Ma baballe de papa est un peu fatiguée,je le sens. Il ne faut pas que j'abuse, elle doit encore pouvoir servir pendant longtemps !!!! Et puis dans ce petit coin il y a des odeurs qui m'attirent, il me faut le temps de les explorer. Et si un copain chatpaspont s'y cachait ? Je suis en manque depuis 3 jours. Mais où se cachent ils ? Ils me fuient ? C'est comme mon grand copain, il est aux abonnés absents depuis une semaine. Je me sens un peu trop abandonnée. Ferais je un début de dépression ? Non ! Je dois réagir. Bon, papa est reposé ! Reprenons notre course. Ah oui, je m'entraîne pour le marathon des petits chiens : 6 kms au moins et une assiette de croquettes pour la première arrivée ! ça motive ! "

 

texie et son nouveau copain
Biscotte retrouve son copain

-Texie- : "Waouuuuh qu'est ce que tu es grand toi ? Je ne t'ai jamais aussi bien vu. Quand je suis par terre je ne t'aperçois qu'à peine, ou pas du tout. Et tu es dehors sans manteau par ce froid ? Mais comment fais tu pour résister ? Moi je grelotte dans ma poussette malgré le manteau et la couverture. On va dire que je suis délicate. Mais tu vas voir, quand je vais me mettre à pattouner, je deviens une vraie sportive. Bon, d'accord je ne ferai pas le marathon des petits chiens comme ma Biscotte, mais presque."

-Le Grand Copain si Gentil- : "Waouuuuuh, mais t'es qui, toi ? Je suis tellement subjugué par Biscotte d'habitude que je ne t'ai pratiquement jamais remarquée. Mais tu es toute mignonne dans ta poussette. Je n'ai jamais vu d'engin pareil, ça m'aurait bien plu d'aller dedans quand j'étais tout bébé. Évidemment, maintenant c'est rapé, trop tard. Dans une autre vie peut être. Je n'ai pas froid tu sais, je suis habitué. Et puis dès que ma maman va revenir de ses courses elle me fera rentrer dans la maison. Ne t'inquiète pas pour moi, elle prend grand soin de ma santé. Fais une bonne promenade en pensant à moi. Si je le pouvais je t'accompagnerais bien !"

-Biscotte- : "Salut mon cher Grand Copain. Alors comme ça depuis 8 jours je t'ai cherché à chaque fois et tu n'étais pas là ! J'ai pleuré à chaque passage et tu ne m'entendais pas. Je suis une vraie fidèle, quand j'aime c'est pour la vie tu sais."

-Le Grand Copain si Gentil- : "Excuse-moi, j'étais dans la maison avec ma maman. Je sortais bien de temps en temps mais pas quand tu passais. Tu vas faire une grande marche avec ton Daniel, tu en as de la chance. Il est en vacances ? Alors tu vas pouvoir en profiter plein de jours. Transmets mes amitiés à tous les copains du quartier dans ton pipibook. Tu me diras la prochaine fois combien de "liche it " tu auras recueillis !"

 

la gare rive droite

-Biscotte- : "Houuuuu j'ai le vertige ! Et tous ces engins qui font du bruit ça me fait peur. Mais la curiosité l'emporte. Daniel a dit que c'est la construction de la gare rive droite du tram  T6 de Viroflay. La pluie n'arrange rien, je suis trempée comme une soupe. Mais mes tuyaux sont très coopératifs ces jours ci et ça m'apporte un grand soulagement. Pas besoin de se mettre autour d'une assiette de croquettes pour parlementer sans fin, c'est du temps de gagné. Là je courre avec mon Daniel et hop ça y est. Texie n'a pas voulu mettre une griffouille dehors. La pluie ça la tétanise. Elle préfère prendre un jour de congé pour son secrétatchien plutôt que de se mouiller les coussinets. ça la regarde, moi je sais prendre sur moi !"

grand coup de langue

-Biscotte- : "Voilà, je suis rentrée, maman m'a séchée du mieux qu'elle a pu. Maintenant un bon livre, une bonne partie de coins coins et un bon coussin, que vouloir de mieux ? La journée va être bien tranquille, une journée d'automne humide, il ne manque que le feu dans la cheminée. "


-Le petit jouet- : "Surtout une bonne partie de coins-coins parce que pour ce qui est de lire ma Biscotte a encore des progrès à faire. Mais je le reconnais elle est pleine de bonne volonté pour apprendre. Du coup je subis moins d'attaques de crocs, c'est bon pour ma santé. "

 

oh! labelle couette

-Texie- : "Oh une matinée qui commence rudement bien, comme je les aime, confortablement. Cette couette par terre était bien trop tentante, je m'y suis immédiatement installée. Papa et maman veulent faire leur lit ? Ils attendront mon bon vouloir. Je dois d'abord tester et approuver l'épaisseur de la couette. Sa chaleur, sa douceur. Hummmm pas mal du tout, j'y passerais bien toute la journée, c'est tout de même plus grand que nos coussins. J'aime l'espace, j'aime m'allonger, m'étirer, me retourner sans limites. Mais.... je sens qu'ils s'apprêtent, il va falloir sortir se promener. C'est vrai qu'hier je suis restée au sec.

Finalement une grande pattounade me fera le plus grand bien. Pas de grand Ennemi en vue, pas de pluie, des nuages amicaux pour moi, toutes les bonnes conditions d'une pattounade réussie sont réunis. Allez, encore cinq minutes de prélassement et je vais me motiver pour monter dans ma poussette.

À moi les côtes ardues et les descentes pentues, j'en viendrai à bout, je le promets !"

 

dans les bras

-Texie- : "Et oui mon Daniel, je vais faire toute la pattounade dans les bras de maman. Non ? Tu n'y crois pas ? Mais pourquoi ? Je suis très bien comme ça. C'est très confortable, ça ressemble à une limousine de chez Uber. Oui, oui, je connais tout ça, je suis très avertie de tous les modes de transports qui existent. Là mon chauffeur est aux petits soins. Dès que maman pense que je ne vais pas avoir assez chaud, hop, j'ai une chaude couverture pour me réchauffer les nonos, comme pour les genoux de la reine d'Angleterre. Et je le vaux bien !"

-Biscotte- : "Alors ? Tu te dépêches de la prendre, la photo ? Parce que moi je veux aller par terre, tout de suite. Et surtout je veux que tu reprennes ma laisse et m'emmène courir jusque chez mon grand copain pour voir s'il est là. Mais.... je n'ai pas trop d'illusions, il fait frais, humide, sa maman préfère sans doute le garder au chaud dans la maison. Mais, quand même, on va courir et faire quelques kms pour se dégourdir. Après, au retour, c'est tellement agréable de rentrer dans un appartement bien chauffé, de retrouver ton lit, ta couette, et de faire des gros dodos réparateurs. J'aime tellement les plaisirs simples, ça c'est un vrai dimanche d'automne !"


 

gros dodo

  -Biscotte- : "Allez, tu peux prendre autant de photos que tu veux ! Moi, après 6,5 kms de pattounade je suis out, complètement out. Des pétards pourraient éclater à côté de moi que je ne sursauterais pas. Enfin.... peut être, je suppose, ça n'est jamais arrivé alors je m'avance un peu là ! Tout ça à cause de mes tuyaux, encore eux. Ils commencent à me taper sur le ciboulot ceux là ! Au bout de presque 4 kms ils me faisaient toujours la nique, alors mon Daniel a décidé de continuer, jusqu'au déblocage de la situation. Ils ont fini par se rendre compte qu'ils n'auraient pas gain de cause, mais juste sur la fin des 6,5 kms. Il s'en est fallu de peu qu'ils gagnent la partie. Mais ils ne sont pas de force face à l’opiniâtreté de mon Daniel. Enfin, tranquille jusqu'à demain. Cette bataille journalière est vraiment lassante à la fin. En tout cas, à part pour le toilettage et manger les croquettes, je dors jusqu'à demain. Rien ne pourra me déranger !"

-Texie- : "Hum????? Moi j'ai à peine pattouné 3 kms et je suis fatiguée aussi ! Mais mes tuyaux fonctionnent à la perfection. Je sais entretenir le dialogue social, je sais les prendre par les bons sentiments. Ils m'écoutent et s'exécutent. Pas de promesses oiseuses, de l'action. Dès que tu seras réveillée et attentive je te donnerai quelques tuyaux !!! Hihihihi, c'est le cas de le dire. En tout cas ce matin j'ai pipité le premier tome de mes mémoires. J'en suis très fière, ça va passionner tous les copains. Il faut encore que je dégote un éditchien, ça n'est pas gagné, il va pleuvoir, tout va être à repipiter. Mais j'y arriverai, goutte à goutte, je ne vais pas me décourager pour si peu. Et on me publiera auprès de tous les bons pans de murs et de tous les troncs d'arbres, je veillerai à être bien placée, à la portée de tous les museaux curieux des bonnes pipitures. Oh je sens que je vais faire de beaux rêves !"

 

le dragon

-Le pauvre tronc d'arbre déraciné !- "Mais qu'est ce que je leur ai fait à ces pauvres petites puces effarouchées ? Moi qui ne peux pas bouger d'un mm. Moi qui ne ferais pas de mal à une feuille, à une fleur, à un puceron. Je me sens seul tout déraciné comme ça. Et je sais comment je finirai hélas, en rondelles. J'ai peur de la tronçonneuse moi ! J'étais si beau quand j'étais encore bien planté en terre. Les oiseaux se posaient sur moi et chantaient. C'était le bonheur. Quelle tristesse que cette fin accélérée par la dernière tempête. Je n'ai pas pu résister, j'étais trop vieux, trop fatigué. Et personne ne va déposer une plaque commémorative, on va m'oublier totalement. Je suis désespéré !"


Ondine
maman protège nous

-Biscotte- : "Oh tu peux dire ce que tu veux maman, je suis très inquiète. Dans cette immense forêt on a croisé le dragon, le serpent, le monstre qui surveille tout le monde. J'ai encore en mémoire sa tête impressionnante et ce long corps sinueux. Je sens que je vais en faire des cauchemars. Sur ce banc, près de toi, tout doucement j'arrive à me rassurer un peu, mais quand on va se remettre en chemin, hein ? Est ce qu'il va nous suivre, essayer de nous manger tout cru ? C'est que je suis joliment dodue, je fais envie. Je sais, à partir de maintenant je vais supprimer 3 croquettes à chaque repas, il faut que je perde au moins 100 grammes. Comme ça on verra mes côtes, peut être et je risquerai moins d'attirer son attention !"

-Texie- : "Et moi je remonte dans la poussette ! C'est mon donjon, mon château fort, là je suis à l'abri de cet immense prédateur. C'est qu'on aura fait 5 kms ce matin, je commence à être fatiguée. Alors si je dois me retourner tous les 2 mètres pour voir s'il nous poursuit, on n'arrivera pas de sitôt chez Daniel. Dans les bras de maman rien ne peut m'arriver, tu devrais venir sur ses genoux toi aussi ma Biscotte. Quoique, elle n'a pas des grands genoux, on voit bien qu'elle se rationne ses croquettes elle aussi !"

 

les canardsles canards

-Biscotte- : "wééééééé mes copains les coins coins. Vite, que je leur télépathe les dernières nouvelles. Flûte j'ai tout oublié de mon coin-coin. Et puis moi, quand je suis émue, stressée, j'oublie tout. Ah l'angoisse de la pensée blanche ! Ça ne fait rien, ces copains là sont gentils. Ils viennent tous nous faire coucou, du bout des étangs de Ville d'Avray. Hum.... oui.... je crois que je comprends. Hélas pour moi ! En fait, ils demandent tous des morceaux de pain. Ils sont uniquement intéressés par le pain. Et moi ? Je compte pour un nénuphar peut être ?"

-Texie- : "Un petit poteau ! Enfin des nouvelles à décryptouiller. ça commençait à être monotone cette promenade. Des feuilles mortes, encore des feuilles mortes, toujours des feuilles mortes. Franchement, moi, la forêt ça ne m'inspire pas trop. Je fais des recherches pour ce premier tome de mes mémoires, mais j'ai l'esprit qui vagabonde et je suis fatiguée. Là, je suis fatiguée ce matin. Alors des coins-coins ? Pas vu de coins-coins, il faudrait lever la tête et regarder plus loin que le bout de mon museau, je n'en suis pas encore là !"

-Les coins-coins -: "Non mais, vous avez vu ces rats ! Pas l'once d'une miette de pain à nous mettre dans le bec ! Et ce petit tas noir qui nous couine des trucs incompréhensibles ! Mais qu'est ce que c'est que ces gens ? Allez les copains, on s'éloigne, ils ne sont vraiment pas intéressants !"


fin de promenade-Biscotte- : "Snifff, ils ne m'ont pas aimée ! Que je suis triste et déçue. Je voudrais tant que tous les copains de la terre m'aiment. J'aime qu'on m'aime ! Et puis j'ai 6 kms dans les pattounes, je commence à aspirer à la douceur de mon coussin pour faire des gros, gros dodos jusqu'à l'heure du toilettage et des croquettes. "

-Texie dans la poussette- : "Moi j'aurai bien fait 1,5 km à pattounes en tout, et ça me suffit grandement. Pourtant Grand Ennemi a mis ses gants de velours aujourd'hui, merci Miss Doudou. Il est là mais tout en douceur et discrétion. Il donne une luminosité et des couleurs merveilleuses à cette splendide forêt. Mais si je regarde ! Quand je suis dans ma poussette je n'ai que ça à faire, alors je m'en mets plein les mirettes. À terre je pipite, en l'air je zieute !"

 

il pleuvine

-Biscotte- : "Hummmmm cette petite pluie qui est tombée cette nuit et cette bruine de ce matin..... Un enchantement pour mon museau. Ça sent booon. Ça me parle, ça m’enivre d'odeurs de terre. Il y a des petits vers, je communique avec les insectes, je découvre des vies insoupçonnées. Je suis scotchée !poussette

-Texie- : "Et il y a des pipimails ? De ma poussette je ne capte rien !"

-Biscotte- : "Des pipimails ? Mais non, rien d'aussi trivial. Que de la poésie distillée par ces plantes, ces feuilles d'un vert merveilleux, ces feuilles mortes aussi, dorées et repliées délicatement!"

-Texie- : "Pfouuuu, rien d'intéressant quoi ! Tu te disperses ma biscotte ! De la poésie, et quoi encore ? De la perte de temps je te dis !"

ça sent bon

-Texie- : "Ça au moins c'est intéressant ! Pour moi ça a la circonférence d'un baobab. Le temps que je décryptouille les milliers de pipimails je sens que je vais y passer la journée. En plus je suis dépitée : les pluies ont effacé, dilué, le premier tome de mes mémoires. Mon éditchien me demande en urgence de les reproduire. ça bout dans mon ciboulot ! Tout ce travail, ça n'est plus de mon âge ! Il me faudrait un nègrechien ! Mais ça coûte beaucoup trop de croquettes, je ne peux pas me le permettre ! Et je ne peux pas compter sur ma poètesse de Biscotte.

OndineAh Miss Doudou tu me manques cruellement. À nous deux on a tellement réussi à faire paraître des pipimans passionnants. Je me sens bien démunie sans toi !"

 

dodo-Texie : "Tu dors ma Biscotte ?"

-Biscotte- : "oui, je dors, et toi ?"

-Texie- : "Bah oui, tu vois bien puisque je te télépathe.... Je ne peux même pas bouger trois poils et cinq griffouilles tellement je suis fatiguée !"

-Biscotte- : "Et moi donc ? Toi encore tu peux monter dans ta poussette dès que tu ralentis.  Mais moi ? Je fais tout à pattounes. Tous les jours 4 à 6 kms ! Je suis musclée, tu n'as pas idée."

-Texie- : "Et comment vont tes tuyaux ?"

-Biscotte- : "Mal, très mal. Ils se sont encore mis en grève ce matin. Ils étaient gentils ces derniers jours parce qu'ils voulaient élire leur candidat à la présidence des tuyaux. Manque de chance c'est leur adversaire qui a reçu toutes les voies. Du coup c'est reparti, grève un jour sur deux. S'il le faut j'aurai recours à mon médiateur à la glycérine. Mais il ne faut pas qu'ils en prennent l'habitude, je préfère un supplément de croquettes ! Ces problèmes commencent à me courir sur le haricot. "

-Texie- : "Ma pauvre Biscotte, comme je te plains. Sur ma planète "teuyaux" aucun problème. J'en ai bien assez avec ma vésicule biliaire. Rien n'est jamais parfait."

-Biscotte- : "Allez, en attendant faisons notre gros dodo pour essayer de récupérer nos forces..... jusqu'à demain !"

 

feuilles mortes

-Texie- : "Tu as vu ce tapis de feuilles ma Biscotte ? Tu sais quoi ? On devrait en ramener un maximum pour les étaler dans le salon de Daniel. Ça serait joli comme tout. Son parquet est un peu ordinaire sans tapis. Toutes ces jolies couleurs l'égaieraient."

-Biscotte- : "Et comment on les ramène ? On les prend dans notre gueule ? Mais alors elles vont être pleine de salive, on va croquer dedans, ça ne va pas marcher !"

-Texie- : "Tu me les poses sur le dos, tu les entasses, tu les fais tenir avec ma laisse en l'enroulant autour de mon corps. Comme je suis sage je peux pattouner sans laisse."

-Biscotte- : "Mais ça va glisser quand même, on n'en aura même pas une à l'arrivée ! Allez, c'est bien mieux dans la forêt. Elles vont nourrir le sol. A propos de nourrir, j'ai fourni quelques croquettes en plus à mes tuyaux, ils ont été contents, ils ont repris leur travail. Pour aujourd'hui ! Je ne sais jamais de quoi sera fait demain. Mais il faut que je devienne philosophe, ça sera comme ça maintenant, il faut que je m'y habitue. Les kms journaliers de pattounade ne font rien pour arranger les choses. Je suis bonne pour des négociations perpétuelles !"

-Texie- : "Bon, allons y, on va rejoindre maman qui est restée à la maison à cause de son dos. Elle me manque, j'ai hâte de la retrouver."


 

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