- Myrtille - : "Tu as vu Biscotte ? J'ai retrouvé le moelleux canapé ! Qu'est ce que je suis bien, rassurée, à mon aise, au repos. Vive la détente et le calme ! Quoique je suis fatiguée de regarder papa et maman s'agiter sans arrêt depuis hier soir."*
- Biscotte - : "Oui, la nuit a été courte, ils se sont remis au travail dès ce matin et n'ont plus arrêté jusqu'à ce soir. Tout juste ce petit arrêt après leurs croquettes. Mais ils sont souriants, ils nous font des caresses, ils nous parlent, ils font plein d'efforts pour qu'on se sente bien."
- Myrtille - : "C'est presque réussi. Je dis presque parce que ce soir j'ai encore laissé plein de croquettes dans mon assiette. Je me sens encore chamboulée. Pourtant je joue, je mets le fouillis partout. Ça ira peut être mieux demain ? "
- Les petits jouets - : "Oui, on atteste, Myrtille les grandes dents n'a peut être pas très faim mais pour nous le travail continue. Elle nous agresse toujours aussi sauvagement. De temps en temps maman s'arrête pour nous rassembler et hop, elle passe par derrière et nous renvoie aux quatre coins. Enfin, partout quoi ! "
- Toutes les petites copines - : "Vous avez entendu ? Les nuages sont fâchés entre eux, il y a de l'électricité dans l'air, ça fait du bruit. Mais comment faîtes vous pour ne pas bouger une griffouille ou une oreille ? Nous on avait peur, on sursautait, on se précipitait pour se faire rassurer par papa et maman. Vous ? Non, le sommeil profond et paisible, incroyable. En tout cas ça rafraîchira sûrement la température extérieure demain. Qui sera ? Un autre jour bien sûr ! "
- Biscotte -: "Allez, profites en bien, cours ! La pattounade
va être toute petite, je le sens !"
- Myrtille - : "Pourquoi tu ne cours pas avec moi ? Viens t'amuser un bon coup !"
- Biscotte -: "Pas envie, plus envie. Je sens le poids des années dans mes pattounes. Quand je pense que je faisais tellement courir mon papa et mon Daniel il y a peu d'années. J'ai bien changé."
- Myrtille - : "Ne te désole pas, tu pattounes encore plein de kms. Tu es la première à l'entraînement du marathon chiens. En attendant, moi, je m'en donne à cœur joie."
- Biscotte - : "Surtout que, dès que nous serons rentrées, il va falloir être encore sages, très sages, et regarder papa et maman qui s'agitent toujours sans arrêt. J'ai l'impression qu'ils sont débordés, et fatigués. Tu sais quoi ? J'irai me coucher dans le couffin marron et je n'en bougerai plus jusqu'à ce soir. Et ce qui m'amuse c'est que noire dans le couffin marron, des fois, ils me cherchent partout parce qu'ils ne me voient pas. Ça m'amuse follement de les voir s'inquiéter."
- Myrtille - : " Ça c'est sûr que ça ne risque pas de m'arriver ! Ils me repèrent immédiatement. Et en plus, avec mon petit collier à clochette ils savent toujours où je suis, et si je fais une bêtise."
- Toutes les petites copines - : " Ne vous impatientez pas ! Papa et maman finiront bien par venir à bout de tout ce qu'ils ont à faire. Disons dans deux jours ! Comptez en repas de croquettes, au moins 6 ! Et après vous reprendrez une vie plus normale. Il fera moins chaud demain nous ont dit les pascopainsnuages qui prennent de l'importance dès qu'ils peuvent. Alors forcément demain sera un autre jour, il le faut bien !"
- Les petits jouets - : "Encore un espoir déçu ! On croyait qu'on aurait un peu de calme grâce à papa qui nous avait tous regroupés dans le couffin. Un peu d'affection entre nous, des retrouvailles calmes et silencieuses. Hé bien non ! Maman s'en est mêlée !"
- Myrtille - :"Bah oui quoi ? J'ai fait un gros dodo, maintenant j'ai envie de jouer, de m'agiter, de faire la fofolle. Je suis très forte pour ça, je déborde de joie de vivre, vous le savez bien tout de même !"
- Les petits jouets - : "Oui, hélas ! Mais on risque de perdre encore un copain avec tes jeux de folie."
- Biscotte - : "Bon, dépêchons nous de jouer un peu, papa attend pour passer l'aspirateur. En ce moment cet engin de malheur fonctionne plusieurs fois par jour. Pas moyen de l'éviter. Quelle période ! Peu de pattounades, on est priées de rester bien sages. Mais quand va t'on revenir à la normale ? Ça commence à m'ennuyer très fort !"
- Myrtille -: " Ça c'est vrai. Ils sont atteints par la folie des rangements et du nettoyage. Ils trient, ils jettent des trucs. Papa est constamment en train de descendre à la cave. Quelle vie !"
- Toutes les petites copines - : "Un peu de patience, ça va leur passer. Mais en fait non vous n'êtes pas au bout de votre peine finalement, on vient de réaliser que papa a prévu des très gros et longs bricolages. Vous serez heureuses et soulagées de retrouver votre petite vie tranquille vers fin septembre !!! Que de repas de bonnes croquettes vous séparent de ces moments bénis ! D'ici là vivez au jour le jour car demain sera un autre jour !"
- Myrtille - : "Gnoougnouugnoougnouuuu ! Mais ça n'est pas de ma faute si mes poils poussent en accéléré ! A chaque toilettage j'ai droit à une petite coupe de raccord. Mais là c'était le bain ! Oui ! Le bain ! Suivi de la tonte là où il le fallait pour avoir l'air d'une petite caniche soignée et jolie. ça n'est pas moi qui le dis, c'est maman ! Et elle s'y connaît ! Enfin... Je crois.... Je suis bien obligée de lui faire confiance. Je ne reconnais plus le déroulement des journées ! Je suis toute déconcertée, un brin dérangée du côté des tuyaux du bibide. Papa et maman n'arrêtent pas de travailler, on pattoune plusieurs fois dans la journée, mais pas très longtemps. Vivement le retour à nos bonnes habitudes !"
- Biscotte - : "Gnuuuuuuuuuuuuuuuuuu, à qui le dis tu ? Je ne m'attendais pas du tout à être baignée aujourd'hui ! Aucun indice prémonitoire, rien ! Et puis pouf, dans la baignoire. Enfin, ça s'est bien passé. Et là c'est la phase finale, toujours réalisée par papa, la coupe de mes ergots. C'est délicat dans tout ce noir. Inutile de couper les ongles, je les use tellement en pattounant qu'ils sont à ras. Dis donc, tu ne vas pas faire comme moi avec ton bibide un peu dérangé ? Heureusement, toi aussi tu aimes le smecta ! Ça a bon goût, hein ? Pour un peu on ferait du popot tout mou pour avoir la chance d'en avaler une seringue. Non, je plaisante ! On est quand même mieux quand tout va bien ! Et c'est le cas !"
- Toutes les petites copines - : "Voilà une grosse corvée de passée ! Et puis ça vous aura fait passer le temps à toutes les deux. Nous, on est réfugiées dans notre gentil nuage blanc et moelleux parce que les pascopainsnuages gris, noirs, en colère, font la loi aujourd'hui. On les laisse faire, ils sont les plus forts. Et, hélas, ça n'est pas sûr que demain, un autre jour, ils voudront accepter de se calmer. Tant pis, on dormira !"
- Myrtille - : "Oh ma maman ça va bien ? Tu es enfin au repos, à ma portée, je revis !"
- Biscotte - : " Oui, ça n'est pas trop tôt ! Ça commençait à faire long tout de même !"
- Myrtille - : "On fête ça ? On fait une partie avec les petits jouets ?"
- Biscotte - : " Mais non ! Laisse là se reposer ! Il faut qu'elle reprenne des forces. La griffouille de mon petit doigt me dit que tout n'est pas encore terminé ! "
- Myrtille - : " Je ne veux pas le savoir ! J'ai déjà faim, j'attends mes croquettes du soir. Ça gargouille dans mon bibide. La pattounade du matin est loin, j'ai des fourmillements dans les pattounes."
- Biscotte - : "Pourtant tu es restée parfaitement sage pendant que papa et maman étaient partis faire du ravitaillement."
- Myrtille - : " Ils ont ramené des croquettes ?"
- Biscotte - : " Mais non, ça ils en ont toujours. Ils ont fait du ravitaillement pour leurs bibides. Les placards étaient vides. "
- Myrtille - : " Bon ! Alors s'ils sont contents ils vont nous donner le double de croquettes ? "
- Toutes les petites copines - : "Même pas en rêves Myrtille ! Tu sais très bien qu'elles sont pesées au gramme près vos croquettes, comme l'étaient les nôtres. De toute façon, toi, en ce moment, tu en laisses un peu. Les tuyaux de ton bibide ne savent pas trop sur quel rythme danser et tu as encore eu droit au smecta. Alors ne rêve pas de croquettes ça pourrait déranger ta digestion. Hein Biscotte, tu en sais quelque chose, toi qui vas bien depuis quelques mois. Mais chaque jour amène sa dose de suspense et de surprise. Tout ça pour dire que demain tout recommencera parce que ça sera un autre jour !"
- Myrtille - : "Mais pourquoi on s'arrête ? Qu'est ce qu'on fait là ? On est en pleine pattounade, je n'ai pas envie de rester plantée là à guetter les chats et les oiseaux."
- Biscotte - : "Mais enfin réfléchis dans ton crânillon ! Papa revient de chez le boulanger. Tu sais bien, c'est là qu'il achète le bon pain dont on a un petit morceau à déguster chaque fois qu'il le coupe. Et puis, tu sais bien qu'on n'a pas le droit d'entrer dans les boulangeries ! Il paraît qu'on est très sales, plus que les semelles de tous les clients. Ou les mains des gens qui saisissent les nourritures et les reposent pour en tâter d'autres. Tu saisis ?"
- Myrtille - : " Hé oui, c'est la loi ! Je suis savante hein ? Et au fait, tu as vu maman ? Pourquoi est elle assise sur ce banc ?"
- Biscotte - : "Elle est fatiguée ce matin, pas question de la faire marcher vite, elle ne suit pas. Pourtant il fait bien frais, c'est agréable de se pattouner. "
- Toutes les petites copines - : "Ne vous inquiétez pas,
maman ira mieux demain. Mais demain il risque de pleuvoir, rien
n'est jamais parfait. Nous, on s'en lave les pattounes, on fait ce qu'on
peut pour vous éviter ça, mais on peut peu ! Allez, d'ici là faîtes des
gros dodos, régalez vous de vos bonnes croquettes, et soyez en sûres,
demain sera un autre jour !"
- Biscotte - : "Je t'aurai prévenue ! Tu sais très bien que tu ne dois pas t'approcher des plateaux de papa et maman ! Tu vas te faire rappeler à l'ordre ! Je t'aurai prévenue !"
- Myrtille - : "Mais ça sent tellement bon. Ils n'ont même pas idée de combien ça sent bon ! Mon nez n'en peut plus ! Et si j'osais je me mettrais bien sur mes pattes arrières ! Je peux ? Dis, tu crois qu'ils me verront si je le fais !"
- Biscotte - : "Et comment ! Tu n'as pas l'air de t'en douter mais ils ne te perdent pas de vue une seconde. Fais ça et tu vas te faire gronder très très fort. Il faudrait que tu apprennes à bien te tenir tout de même !"
- Myrtille - : "Oui, oui, je sais, toi tu ne fais pas ce genre de choses. Tu ignores complètement les plateaux. Mais moi, si une fois je les vois occupés à autre chose, une seule fois, hop, je me précipiterai pour voler un petit bout de quelque chose. Pas vue, pas prise !"
- Biscotte - : "Alors là tu te trompes lourdement. Comme papa et maman ne vont pas me soupçonner de vol ils vont automatiquement te gronder, parce qu'ils sauront que ça ne peut être que toi !"
- Myrtille - : " Oh d'accord, mais c'est dans mes gênes : ils regardent, je me tiens à carreau. Ils ne regardent pas, je chaparde ! "
- Toutes les petites copines - : " Et tu es bien une petite
chienne classique. Ce que tu viens de dire a été prouvé, filmé. Il
faudrait un copain dûment soumis et très obéissant pour ne pas
succomber. Aucune de nous n'a pu voler, question de taille. Toi, quand
tu t'étires tu atteins presque le plateau de la table de la cuisine. Un
peu plus et papa et maman avaient beaucoup de soucis à se faire. Au
fait, vous avez vu ? Il n'a pas plu aujourd'hui. On a réussi à mettre
des couches très serrées à tous les pascopainsnuages. Ils ont râlé mais
ils se sont laissés faire. Demain ? On verra bien, ça sera un autre
jour."
- Les petits jouets - : "Ah que la trêve est douce. On se sent bien. Tout n'est que calme, tranquillité, sérénité, douceur, affection !"
- Biscotte - : "Oh ! les petits jouets ! Vous ne croyez pas que vous exagérez un peu ? Je serais vous je ne m'y fierais pas trop au calme apparent de Myrtille les grandes dents ! Méfiez vous, elle a plus d'un tour dans sa mâchoire ! "
- Les petits jouets - : "Ne nous enlève pas nos illusions ! C'est si bon de rêver de temps à autre. Regarde, elle est là, presque endormie, sans défense, détendue. Elle s'appuie sur nous, on fond de bonheur. On n'est pas rancuniers, on savoure le moment présent ! Ne joue pas les rabats joie !"
- Myrtille - : "Gnuuuuuuuuu?????? D'accord, je vais mettre encore quelques minutes à recharger mes batteries. Après ? Oh bah je vous mordillerai gentiment, calmement, affectueusement. N'écoutez pas Biscotte, elle aussi reprend des forces pour jouer follement bientôt."
- Toutes les petites copines - : "Bonne nuit Biscotte et Myrtille, bonne nuit les petits jouets et rassurez vous, elles vont vraiment dormir toute la nuit. Vous pouvez vous détendre et profiter de leur profond sommeil. Elles ont pas mal de kms dans les pattounes. Et pour demain qui sera un autre jour ? On vous laisse la surprise petits jouets, motivez vous, ça sera violent !"
- Les petits jouets - : "Demain est un autre jour hein ? Pour nous tous les jours se ressemblent. Elle a bien dormi notre Myrtille aux grandes dents, elle est en pleine forme. Pauvres de nous. Et encore, ce matin, Biscotte n'a pas envie de se mêler de la partie. Quelques uns d'entre nous vont pouvoir survivre. Dans le fond papa pourrait ouvrir une clinique pour nous. Il serait chirurgien en chef !
Mais horreur, Biscotte s'est réveillée. On va implorer nos petits anges gardiens de nous protéger de toutes ces dents pointues et acérées. Deux mâchoires intactes ça fait, oh là là, on ne sait pas compter jusque là, plein, plein de dents, ça sera plus simple !"
- Biscotte et Myrtille - : "Bah quoi ? On n'a plus le droit de jouer maintenant. Vous êtes une espèce en péril, en voie de disparition ? Ne comptez pas sur nous pour arrêter la chasse et les captures. C'est nous les plus fortes ! Surtout quand maman s'en mêle !"
- Toutes les petites copines - : "Vous serez vengés, les petits jouets. On peut vous certifier que maman aura du mal à se relever après cette séance implacable, et ses genoux lui rappelleront pendant un bon petit bout de temps qu'elle ne peut pas prendre n'importe quelle position sans en payer les conséquences. Ça vous console ? En tout cas une bonne pattounade après ça va fatiguer vos deux ennemies. Faîtes nous confiance, vous serez tranquilles presque pour le restant de la journée. Et ne vous inquiétez pas, de toute façon demain sera vraiment un autre jour."
- Myrtille - : "Maman il fait chaud, je commence à être très fatiguée, et ce banc n'est pas confortable du tout. Dès que je veux m'allonger mes pattes passent à travers des lattes et ça me fait mal. Qu'est ce qu'on fait ici au lieu de rentrer se mettre au frais à la maison ? Tu peux me le dire ?"
- Biscotte - : "Arrête un peu de te plaindre, ça prend du temps et moi j'ai terriblement soif. Et je ne comprends pas comment tu t'y prends. Moi je suis parfaitement allongée sans que mes pattes passent à travers. Tu es trop nerveuse, détends toi un peu. On est bien, à l'ombre, tranquilles, profite du moment présent."
- Myrtille - : "Tu m'énerves ! On n'a pas le même caractère un point c'est tout ! Je suis comme ça, tu es comme ci et puis voilà!"
- Toutes les petites copines - : " On a été réveillées ce matin par une grosse dispute entre les pascopainsnuages. Ils sont énervés, ils noircissent, ils sont lourdingues. Voilà pourquoi vous vous disputez. On dirait que vous avez été piquées par des taons. Il faut vous y faire. Ou bien il fait bon, agréable, ou bien il fait orageux et ça fatigue tout le monde. Allez, on va espérer que la nuit rafraîchira les crânillons pour accueillir demain, vous savez, après les croquettes du matin, un autre jour !"
- Le gentil copain - : "Bonjour belles demoiselles, que me vaut ce plaisir ? Je suis ravi de faire votre connaissance ! Pouvons nous approfondir notre rencontre ?"
- Biscotte - : "Heu...... Oui.....Peut être.... Je vais réfléchir à ta proposition. En attendant je propose de garder nos distances. Je n'aime pas être brusquée. Je ne réponds pas toujours positivement au premier rendez vous. Je te suggère de me pipimailler plusieurs propositions par exemple, je les décryptouillerai avec intérêt, promis, et puis je verrai si je donne une suite intéressée."
- Myrtille - : " Ça va ? Tu te sens bien Biscotte ? Tu as fait un stage dans une administrachienne ? Moi je suis partante, tout de suite, avec enthousiasme ! Tu viens danser avec moi gentil copain, allez, tu viens ?"
- Le gentil copain - : "Heu.... Oui..... Peut être.... Je ne sais pas, je ne suis plus un très bon danseur, je n'ai plus l'âge de m'agiter comme toi, petite jeunette. Mais tu sens rudement bon, tu m'attires vraiment. Ma maman se fait une petite causette sympa avec tes papa-maman, profitons en pour nous flairer de plus près."
- Biscotte - : " Bon, c'est pas tout ça mais il faudrait continuer la pattounade avant que la température ne dépasse les limites acceptables. Salut gentil copain, à la prochaine !"
- Myrtille - : "Oh bon, voilà, voilà, j'arrive. Quel rabat joie tu fais ce matin. Je sens qu'une fois rentrées à la maison je vais faire leur fête aux petits jouets. Ça me détendra bien. Et puis emmener les coussins en promenade dans la maison, ça sera très fun. Un gros fouillis, rien de mieux pour mettre de l'ambiance et garder le moral au plus haut !"
- Toutes les petites copines - :"Gare à toi Myrtille, n'énerve pas papa et maman en continuant à manger tes gros popots. Ça n'est pas bien du tout. Bien que Pin Up et Texie disent exactement le contraire. Qu'est ce que c'est que cette vilaine rechute ? Tu vas te faire redresser les poils. Mais enfin Biscotte, dis lui, toi, que ça n'est pas bien ! Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi quand même ? Oh et puis débrouillez vous entre vous. On a assez de travail pour essayer de convaincre les pascopainsnuages de voiler, et pas pudiquement, les ardeurs désagréables de grand ennemi. Pour aujourd'hui c'est assez comme ça, on est fatiguées, on verra bien demain, qui sera............ un autre jour ! "