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Myrtille - : " Salut gros patapouf, comment vas tu ? Je suis
ravie de faire ta connaissance. On est rudement bien ce matin dans cette
jolie forêt. J'ai trouvé des centaines de pipimails sensationnels, et
toi ? "
- Le gentil gros patapouf - : " Mais ça va très très bien. Qu'est ce que tu sens bon. Attends, laisse moi te sentir partout, je me régale. Je viens tous les jours, moi, ici, et je ne t'ai jamais vue. Il faut qu'on se donne un RV pour se raconter plein de choses un prochain jour. Nos papas et mamans sont toujours un peu trop pressés, je ne comprendrai jamais pourquoi. "
- Biscotte - : " Mais si, moi je le sais ! C'est parce qu'il fait très très froid., -6°. Ils n'ont pas envie de faire salon et de se transformer en glaçons. Moi j'ai mon chaud manteau, mais vous deux, rien ! "
- Myrtille - : " Oui, je sais, maman me l'a mis et papa a été obligé de me l'enlever à peine on était partis. Je ne le supportais pas du tout, je gémissais. Hé bien, finalement, moi, je n'ai absolument pas froid. J'ai couru avec mon Daniel, avec mon papa, puis en liberté dans la forêt, j'ai bien chaud ! Si ça continue je ne mettrai plus du tout de manteau, sauf par temps de pluie. Mon petit manteau noir qui brille, ça je le supporte, lui."
- Miss de Pin Up - : "Alors comme ça tu n'as pas supporté mon petit manteau à moi toute seule ! Je suis déçue, moi je l'aimais beaucoup. Il est tout doux à l'intérieur, je ne comprends vraiment pas ce qui t'a gênée. Et tu as fait de la peine à maman qui m'aimait beaucoup dans ce petit manteau, vilaine !"
- Toutes les petites copines - : "Oui, on ne te comprend pas Myrtille ! Mais qu'est ce que tu as contre les manteaux ? Aucune d'entre nous n'a jamais fait d'histoires pour enfiler son manteau. Tu dois avoir la peau la plus délicate qui soit. Ah ces caniches !"
- Le
copain ébahi - : "Ciel ! Deux minuscules petites copines ! ça
alors, j'adore rencontrer des copines plus petites que moi ! Ça me
scotche ! Enfin..... je déscotche vite parce que ma maman est toujours
trop pressée ! Comment voulez vous faire connaissance en si peu de temps
?"
- Myrtille - : "Allez, pas de découragement ! Viens vite qu'on se flaire un petit coup, partout !"
- Biscotte - : "J'ai la solution ! Tu nous laisses des pipimails explicatifs un peu plus loin, promis, on te répondra et tu sauras tout de nous : sexe, âge, santé, taille, célibataire etc..... D'accord ?"
- Le copain ébahi - : "Ça alors, tu en as des bonnes idées, toi ! D'accord, je fais ça, on se fixe un petit rendez vous et on se fait une petite bouffe ! Ah non, c'est vrai, c'est ma maman qui dit ça à ses copines. Nous, on se fera un fumet partie. Ça vous va ? "
- Myrtille -: "Parfait, lance les invitations ! Plus on est de fous toutous et mieux c'est ! Salut ! à bientôt !"
- Toutes les petites copines - : "Allez les organisatrices de partie fumet, continuez votre très grande pattounade. Profitez des bonnes dispositions de Grand Ennemi qui vous favorise. Demain il y aura trop de pollution pour que ça soit sain, mais on croit que vous vous fichez pas mal de ça. Vous avez raison, la vie est bien trop courte pour intégrer ce paramètre dérangeant."
- Myrtille - : " Donne le moi, mais.... Donne le moi ce nonos en plastique ! Je le veux, je l'aurai, tu le sais, je gagne toujours ! Allez, donne le moi, et plus vite que ça ! Je ne vais pas te lâcher d'une dent ! "
- Biscotte - : "Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr, que non je ne te le donnerai pas ce nonos que j'adore mâchouiller. Ah ça non alors, tu ne l'auras pas, na ! Non tu ne gagnes pas tout le temps, ça n'est pas juste ! Moi aussi je le veux et je le garde ! "
- Myrtille -: "Sniffffff, je ne l'ai pas eu, je boude. Mais enfin, d'habitude, j'arrive toujours à obtenir ce que je veux ! Qu'est ce qui s'est passé là ? Je me suis laissé impressionner par les grognements de Biscotte ? Peut être bien que oui après tout ! Je suis vexée ! Je veux jouer moi !"
- Biscotte - : "Bien fait pour toi ! Il n'y en a toujours que pour toi ! J'ai aussi le droit de mâchouiller ce que je veux, moi ! Enfin... Tout de même !"
- Toutes les petites copines - : "Allez, faîtes la paix toutes les deux ! Dans trois minutes de toutes façons Myrtille aura oublié et essaiera à nouveau de te prendre ton nonos, Biscotte ! Heureusement tu es une philosophichienne, tu n'as pas de rancune ! C'est bien parce que ça se reproduit 15 fois par jour !"
- Myrtille - : "Hummmm que c'est bon de se bisouter comme ça ! Hummmmm salut petit copain inconnu et tout gentil. J'adore Viroflay, on y rencontre plein, plein de petits copains sympathiques."
- Biscotte - : "Mais le problème reste toujours le même : on a 20 secondes pour faire connaissance, pas plus. Qu'est ce que vous voulez qu'on fasse en 20 secondes. C'est toujours superficiel. Pas moyen d'approfondir les connaissances. C'est frustrant à la fin !"
- Le gentil copain - : "À qui le télépathez-vous ? Je n'arrête pas de tirer sur ma laisse pour essayer d'aller saluer tous les copains que je rencontre, hé bien, pareil que pour vous, 20 secondes et on repart !"
- Myrtille - : " Il y en a assez du froid ! On veut que ça se réchauffe pour que les papas et les mamans s'arrêtent et prennent le temps de bavarder entre eux. Comme ça, nous, nous aurons tout notre temps aussi !"
- Toutes les petites copines - : "Un peu de patience, il semblerait que dans très peu de jours nous ayons une table ronde entre les pascopainsnuages et Grand Ennemi. À l'ordre du jour un petit réchauffement des températures. Comme ils sont chacun très remontés, et caractériels, on ne vous promet rien. Mais on les encouragera fortement à se mettre d'accord et à arranger les choses. Ne vous inquiétez pas, vous ferez bientôt salon dans la rue avec vos petits copains de rencontre. On a vécu ça bien avant vous et on a toujours réussi à avoir la dernière léchouille !"
- Myrtille - : "J'te connais pas toi ? Tu es un petit jouet ? Je peux ?"
- Lecopainchatpaspont - : "Ça ne va pas le crânillon ? Tu sors de quelle planète ? La planète andouille ? Je suis un chat ! Et je sais cracher mon mépris et ma colère quand il le faut. Je te fais un mini pont parce que je vois que tu es une gentille, mais il ne faudrait pas que tu insistes, hein ?"
- Myrtille - : "D'accord, je vais m'éloigner gentiment et
te fiche la paix. Mais franchement comme petit jouet tu m'aurais bien
plu !"
- Biscotte - : "Moi j'aime les copainschatspaspont. Je les adore. Tu as failli faire avoir une syncope à ma maman ! Elle n'avait pas vu que je suis passée à une main de ton museau. Ça s'est bien fini pourtant ! Je me demande pourquoi elle et papa craignent toujours que je m'avance vers un pascopainchatpaspont."
- Lecopainchatpaspont - : "Parce que, en général, nous les chats n'aimons pas du tout les chiens. Nous les craignons. Et si nous avons peur nous les attaquons à coups de griffouilles, surtout si nous ne pouvons pas nous enfuir !"
- Biscotte - : "Mais là tu étais coincé !"
- Lecopainchatpaspont - : "Oui, mais je suis un très gentil et je n'ai pas peur des chiens. Je les connais et je sais reconnaître ceux qui ne me veulent pas de mal ! Il me suffit de cracher un petit coup pour qu'ils me laissent tranquille."
- Toutes les petites copines - : "Il n'y a vraiment que vous deux pour vous intéresser aux chats ! Nous avons toutes, toujours, été suprêmement indifférentes à cette race là. Ça vous ouvre des horizons inconnus qui vous sortent des pipimails habituels. Vous pourriez en avoir un pour compagnon à la maison si papa et maman le voulaient bien."
- Myrtille -: "Pousse-toi, mais pousse toi donc, ces croquettes sont pour moi !"
- Biscotte - : "Mais pousse-toi toi même, je les veux, je les aurai !"
- Myrtille -: "Ça n'est pas souvent qu'on a la chance de voir maman faire tomber la grosse boite de croquettes. Mais pourquoi celles-ci se sont elles glissées sous le réfrigérateur ?"
- Biscotte - : "Pour nous énerver. Glisse ta langue le plus loin possible. Avec ton museau long tu devrais y arriver !"
- Myrtille -: "C'est sûr qu'avec ta face écrasée tu n'as pas beaucoup de chances. Mais.... Non, je n'y arrive pas. Ça sera encore maman la grande gagnante qui les récupérera en ouvrant la porte du congélateur !"
- Biscotte - : "C'est pas juste ! C'est pas juste ! C'est pas juste."
- Myrtille -: "Et qu'est ce que vous faîtes, couchés là, les petits jouets ? Attention hein, je suis très énervée par cette histoire de croquettes. Je vais vous croquer un par un !"
- Les petits jouets - : "Au secours, les grandes dents sont de retour. Mais on est là, bien gentiment, parce que papa nous a mis là pour passer l'aspirateur après la chute des croquettes ! On est obéissants, nous ! "
- Myrtille -: "Parce que je ne le suis pas, moi ? Osez le redire, je vais vous secouer dans tous les sens, na !"
- Les petits jouets - : "Et voilà, on se venge toujours sur les plus faibles. On ne va pas opposer de résistance comme ça on n'aura peut être un peu moins de dégâts !"
- Biscotte - : "C'est très sage. Ne vous en faîtes pas, elle va se calmer !"
- Toutes les petites copines -: "On a toutes eu droit aux croquettes qui tombent ! On s'est toutes poussées pour essayer d'en attraper ! On n'a toujours perdu à ce petit jeu là ! Prenez en votre parti ! Et attendez votre vrai repas courageusement !"
- Myrtille -: "Alors maman ! Mais qu'est ce que tu as fait à ma petite copine adorée ? Qu'est ce que c'est que ce bandage qui l'empêche de pattouner ? Tu ne peux vraiment pas le lui enlever ? Je suis toute malheureuse pour elle ! Elle n'ose même pas venir demander sa petite croquette de récompense quand je fais petit popot sur mon bac, c'est dire !"
- Biscotte - : "Oui ! C'est ce qui me gêne le plus ! Heureusement que papa a pitié de moi et me l'amène dans mon couffin ! Sinon, ceinture ! Je ne sais pas ce que j'ai moi ! Une petite irritation qui suppure à la pattoune ! Pourquoi ? Je n'en ai pas la moindre idée. Ça fait mal, c'est tout ce que je sais, et je mords toute main exploratrice."
- Myrtille -: "Oui, j'ai entendu papa crier de douleur ! Méchante ! Il a fallu que papa te tienne très fort la tête pour que maman te soigne avec de la bétadine et te mette cette bande pour que tu ne te lèches pas ! "
- Biscotte -: "Et pas de pattounade en plus, pour cause de gros verglas sur les trottoirs ce matin. Et plein de sel partout qui oblige les papas et mamans à laver les pattounes de tous les copains au retour de leur pattounade ! Quelle galère !"
- Toutes les petites copines - : "Allez, ne râlez pas ! Ça
passera très vite ! Le temps va beaucoup se réchauffer, plus de verglas
à craindre et le sel disparaîtra peu à peu. Et la bétadine va vite aider
à cicatriser la blessure de ta pattoune Biscotte. Un peu de patience,
tout va rentrer dans l'ordre. Mais mauvaise nouvelle, Grand Ennemi, a
décidé d'aller bouder très loin, vous n'allez plus le revoir avant un
certain temps. Décidément il est vraiment caractériel celui là !"
- Biscotte - : " Shuuuuuuuuuuuuuuuut tu n'as rien vu du tout mon Daniel ! Rien de rien ! Tourne-toi ! Fais autre chose ! Occupe toi intelligemment ! Mais surtout ne dis pas à papa et à maman que je me suis couchée sur ta couette ! Ne cafte pas !"
- Myrtille - : "Tu l'as entendue mon Daniel ? On est rudement bien sur ta couette ! Elle est bien plus confortable que nos couffins ! Ça sort de l'ordinaire, et nous, tout ce qui sort de l'ordinaire nous plaît ! Et puis tu comprends, comme je fais tout comme ma copine, je n'allais pas la laisser profiter de ta douce couette toute seule ! On partage tout, elle et moi !"
- Biscotte - : "Mwaiiiiiiiiis, ça n'est pas toujours de mon plein gré hein ? Mais bon, comme je suis toujours la plus gentille de toutes les petites shih tzus de la terre, alors je m'adapte.... à tout ! Je te fais bien un gros ouaf si tu m'énerves trop, mais hélas ça ne semble pas t'impressionner du tout. Alors, je m'écrase !"
- Myrtille - : "Mais oui je t'aime ma Biscotte ! Je n'en fais pas exprès de t'embêter ! Tu es mon phare, mon exemple, mais je ne peux rien faire contre ma grande fantaisie. Attends que je sois plus vieille, je deviendrai plus sage."
- Toutes les petites copines - : "Mais oui ma Myrtille ça s'arrangera un jour. Mais ne souhaite surtout pas que ça vienne vite. Tu es trop mignonne en fofolle. Tu apportes une si grande fantaisie, une immense gaîté que papa et maman ne s'en lassent pas. Et ils adorent leurs deux petites puces, comme ils nous ont toutes adorées, jusqu'au dernier de nos jours si comptés."
- Biscotte - : "Quoi on ne fait que dormir ? Encore des reproches injustifiés ! D'abord, et de un : quand Daniel installe un grand couffin rien que pour nous, aussi confortable, ça ne se refuse pas ! Et de deux : non on ne dort pas tout le temps ! On dort uniquement quand on ne mange pas, quand on ne joue pas, quand on ne se promène pas, quand on n'est pas sur la table de toilettage ! On est extrêmement occupées, faut pas croire ! Alors quand on peut enfin dormir c'est qu'on est très fatiguées, c'est tout ! Il faut bien récupérer tout de même !"
- Myrtille - : "Et tout ça c'est bien beau, mais as-tu vu où je suis obligée de me coucher ? Hein ? À côté du beau, grand couffin si confortable. Si ça n'est pas triste ça ? Et tu dis que je t'ennuie ? Mais qui est la reine sur le couffin, et qui ne te dispute pas la place ? Hein ? Tu vois ce que je te télépathe ?"
- Biscotte - : "Oh dis, c'est pour toutes les fois où tu as la meilleure place et où tu fais ta gymnastique. Je suis bien obligée d'aller ailleurs pour avoir la paix. Alors là ? ça n'est que justice."
- Toutes les petites copines - : "Ne vous disputez donc pas ! Pourquoi donc, Myrtille, ne te choisis-tu pas une place définitive pour être tranquille et fiche la paix à Biscotte ? Ah oui, parce que Biscotte est une shih tzu migratoire, c'est vrai. Alors vous allez bien ensemble toutes les deux, jamais à la même place, vous aimez jouer à qui s'en va perd sa place ! Et mettre le fouillis partout, ça vous connaît, vous êtes à égalité de ce côté là ! Pensez un peu à maman qui remet de l'ordre cinquante fois par jour avec vos jouets dispersés et vos couffins renversés ! Au fait, Grand Ennemi a écrit sa lettre d'adieu ! Il ne reviendra que si vous le rappelez encore et encore. C'est un vrai cabotin ! Vous savez ce qui vous reste à faire, adressez lui des demandes de retour en lui faisant de doux yeux pour qu'il se laisse attendrir."
- Les petits jouets - : "Ouuuuuuufffffff, papa et maman sont de retour, on va enfin connaître une accalmie. Depuis qu'ils sont partis on a été pris pour cibles par deux énervées, on ne vous dit pas qui, mais il nous semble que vous devriez deviner. C'est un champ de bataille, on n'a plus aucune force, on est vaincus. Quelques blessés aussi qui devront aller à l'hopital papa pour se faire recoudre."
- Myrtille - : "Arrêtez de râler comme ça ! On s'est super bien amusés tous, ça vous a fait prendre de l'exercice. Sinon vous restez vautrés en tas, maman aime beaucoup les tas bien ordonnés, mais pas moi, pas du tout !"
- Biscotte - : "Gnugnugnugnu ce petit nonos en plastique me résiste. Depuis le temps que je l'attaque il devrait être en morceaux. Mais rien, toujours intact, ça m'excite au plus haut point. Tout ça pour montrer à papa et maman qu'on a été super occupées, ils ne nous ont absolument pas manqué, na !"
- Toutes les petites copines - : "Mais si ils vous ont manqué. En fait vous êtes folles de joie de les revoir après cette courte absence. Allez Myrtille, secoue bien ton petit derrière de plaisir, ça leur plaît toujours beaucoup, et tu vas récolter plein de caresses. Biscotte, viens un peu les chercher tes caresses, ne t'efface pas devant cette tornade de Myrtille. Il faut te faire respecter. Ça s'apprend, même chez une toute gentille comme toi. Et tu as vu ? Myrtille ne peut plus se passer de toi. Si tu t'arrêtes dans la rue elle a beau être devant, elle le sent et elle t'attend. Black and white, vous formez une bien mignonne paire de copines toutes les deux."
- Myrtille - : Mmmmmmm cet immense copain a eu le très bon goût de déposer plein de pipimails sur cette belle pierre meulière. Très très intéressant ! Son papa est architecte et son grand papa a construit des maisons en pierre meulière. Qui a dit qu'une petite caniche ne cherchait pas à s'instruire ? Hein ma Biscotte ?"
- Biscotte - : "Je dis ce que je pense ! Tu es encore plus fofolle que je le fus au même âge, et il n'y a pas la place pour des hautes pensée intellectuelles dans ton petit crânillon !"
- Myrtille - : "Mais.... Enfin..... Viens renifler par toi-même, tu verras bien que je n'invente rien ! Je suis peut être une fofolle mais j'ai les mêmes qualités que toi, na ! Je m'arrête peu pour relever les pipimails et les kilomètres ne me font pas peur. Je ne suis jamais fatiguée, et je ne rechigne pas à me mouiller les pattounes !"
- Biscotte - : "Ça c'est bien vrai, je suis d'accord. On va voir au retour de la pattounade si tu apprécieras de te faire baigner les pattounes et le ventre pour te décrotter de la boue des trottoirs. On ne va pas y couper. Tout est sale, sale, sale."
- Toutes les petites copines - : "Ah oui, laver les pattounes dans la douche ou dans les bacs de l'évier, on connaît ! La boue, le sel qui fond, pouah ! Et vous n'êtes pas sorties du bol à croquettes, les averses vont se succéder. Pas assez fortes hélas pour laver les trottoirs, juste de quoi faire encore plus de saletés. Qu'est ce qu'on est bien, au chaud, au creux des nuages tout propres. On vous regarde vous sortir de tout ça avec intérêt !"